Voici donc comment jouaient les gardiens de l'époque :
LIBERATI de Marseille
Julien DARUI / Roubaix
Julien DARUI - quel style-, gardien de Roubaix, de l’équipe de France et de l'équipe ''d'Europe'', a été la référence pour René VIGNAL à ses débuts.
Ici en action à Colombes en 1947 contre la Belgique. Victoire 4 à 2.
La photo prise par Mr BIENVENU –photographe ''foot''-, reçut le Grand Prix de la photo sportive la même année.
La même action de jeu prise sous un autre angle.
BEN BAREK, seul devant DARUI, ne passera pas. Stade Français/Roubaix au stade de St Ouen en 1947.
Toujours tout tenter pour essayer d'intercepter le ballon...
Julien DA RUI finira sa carrière dans un cirque.
Paul SINIBALDI / REIMS
AMAR / Marseille
...dans l'ancien Parc des Princes avec sa piste cyclable.
Penalty au Parc des Princes : Racing/Marseille. 1948
ZEMAN / Equipe d'AUTRICHE
LUSETTI / Gardien de Gênes (Italie)
BACIGALUPO / Gardien de l'équipe d'Italie
Penalty victorieux de BARATTE. Ce jour-là, le 4 avril 1948, la France s’incline 3-1 à Colombes
MOLINUEVO / Gardien du Racing (avant l'arrivée de René VIGNAL)
DEPOORTER / Bordeaux
ROUXEL / Stade Rennais
DOMINGO / Stade Français et Real de Madrid
GERMAIN / Red Star, Lille et Reims
Stade de Saint-Ouen
LANDIS / Remplaçant de VIGNAL au Racing
LANDIS aimait copier le style spectaculaire de son chef de file !!!! Il finira à Troyes
LORIUS / Equipe de Lyon
GLANTZER / Gardien remplaçant du FC Metz
BYKADOROFF / Equipe d’Anger
PARDIGON / Cannes
…le même, très haut dans les airs. Vu la position du ballon, combien de gardiens aujourd’hui, seraient restés ‘‘très solides’’ sur leurs appuis pour regarder le ballon passer ??? A l’époque, tout était tenté pour repousser le ballon….même l’impossible : ça s’appelait le ‘’spectacle’’. Parce que le foot ça n’est pas qu’un salaire -exorbitant- tous les mois, c’est aussi un spectacle.
FAVRE / Reims
Dominique COLONNA / Stade de Reims
Jean-Pierre BOURGEOIS / Equipe de France junior et stagiaire pro à Reims
...ici en action à l'occasion des 1/32ème de finale de la Coupe de France 1952 contre Nantes, au stade Léon Bollée du Mans. A la surprise générale, son équipe d'alors, l'Olympique Saint-Quentin, sortira vainqueur 2-1. La belle aventure se terminera 2 tours plus tard en 1/8ème de finale face à Valenciennes. Julien DARUI alors présent dans le stade en spectateur, repéra le jeune espoir. Peu de temps après, les portes du grand Stade de Reims s'entrouvrirent. Malheureusement, une grave blessure au genou suite à un violent contact, l'empêcha -lui aussi- d'avoir la carrière qu'il méritait.
Le même à l'entraînement en 1948. Il est alors cadet 1ère année.
….et quelques dernières photos, malheureusement sans nom. Quand la mémoire s’efface….